Tout feu tout flamme
55,00 €
Description
Ce tableau a pris deux semaines pour être réalisé. Pour le fond, j’ai fait un grand dégradé de bleu, rose, rouge et jaune. J’ai voulu utiliser des couleurs froides au centre pour donner un effet de profondeur et donner un mouvement à la toile, puis des couleurs chaudes pour contraster avec les couleurs froides. J’ai à la fin rajouté de gros traits de peinture pour apporter de la texture et donner une forme au tableau. Je pense que c’est ce qui donne à celui-ci son côté fuyant comme si les couleurs s’échappaient. J’ai peint en noir les bords du tableau pour mettre en valeur les couleurs.
Aux premiers abords on peux apercevoir les détails cuisants (parce que c’est chaud) d’une simple météorite, ou alors la flamme d’un briquet vue de près. Personnellement, j’ai voulu exprimer ce feu ardant qui brûle en chacun de nous, comme une bataille de couleurs entre les tons froids, le calme et la tendresse, et les tons chauds, la colère et le mal-être… Et alors que la paix se bat pour reprendre le dessus sur le chaos, si nous sommes bien attentif on peux l’apercevoir s’affirmer malgré tout autour de ces tourments. Le calme naît au centre de nos ténèbres et finira par prendre le dessus sur ce qui nous ronge tous quelque part, peu importe nos combats intérieurs la flamme qui brûle en nous deviendra calme et paisible, elle nous guidera dans notre obscurité pour nous montrer le chemin que nous voulons emprunter.
À l’arrière de la toile, une autre peinture est cachée. Un fond en partie sombre, remplie d’éclaboussures grise, noir et blanche pour y symboliser les aléas de la vie. Au centre des cercle noir, bleu, violet, rose, rouge, orange, jaune et blanc. Ces couleurs représentent toutes les bonnes choses de la vie sauf le noir qui incarne les mauvaises expériences. Dans quelques cercles de couleurs, on peut apercevoir des éclaboussures, celles-ci symbolise le malheur dans le bonheur, car il n’existe pas de bonheur sans malheur. Dans le cercle noir, un point blanc pour représenter comme vous l’avez sûrement deviné, le bonheur dans le malheur, car il n’existe pas de malheur sans bonheur. On peut également comprendre que les bonnes expériences rendent moins visibles les mauvaises. Personnellement je vois plus les cercles de couleur que le cercle noir en plein milieu pourtant en regardant bien, on aperçoit que le cercle noir est plus grand que ceux de couleurs. À force de voir le positif, on fait moins attention au négatif. On dit souvent que tout n’est pas tout noir ou tout blanc, moi, je pense que tout est gris.
Dimension: 45×55
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